Nous sommes 2 associés, Julien qui élève 50 vaches de race Limousine sur 110 hectares de prés et cultive 15 hectares de céréales et Virginie qui cultive des légumes diversifiés sur 1,70 ha.
La ferme est convertie à l'agriculture biologique depuis 1999. Ce choix s'est fait par soucis de respect de l’environnement, de nos animaux, de notre santé et de celle des consommateurs. Le principe est de ne pas utiliser de produits chimiques de synthèse sur les cultures, le seul apport est le fumier des vaches composté. Nous ne faisons pas de traitement systématique aux animaux, les soins se font si nécessaire au cas-par-cas en doublant les délais d'attente légaux en cas de vente de l'animal par la suite.

Les vaches passent 8 à 9 mois de l'année dans les prés à y manger de l'herbe, l'hiver elles sont rentrées dans les bâtiments pour éviter d'abimer les prairies. A cette période elles sont nourries avec du foin, de l'enrubannage d'herbe et des céréales produits sur la ferme.

Les vaches, génisses et veaux qui sont engraissés pour être vendus sont nourris avec du foin de luzerne à volonté et un mélange de céréales (orge, avoine, triticale et petits pois) également produits sur la ferme.

Depuis cet été 2022 Virginie a débuté la culture et la vente de légumes diversifiés à la ferme tous les vendredis de 17h30 à 19h30.

La vente directe

Débutée en 2006 à l'occasion de l'installation de Julien. Notre volonté se fonde sur le développement des circuits courts et l'échange direct avec les consommateurs. Il s'agit également de proposer une viande et des légumes de la meilleure qualité possible à un prix abordable pour les consommateurs et rémunérateur pour nous.

Nous disposons d'une chambre froide à la ferme ainsi que d'un local pour recevoir les clients venant chercher leur commande de viande et les légumes.

Les animaux vendus en direct sont transportés par le groupement de producteur "CORALI" basé à Chasseneuil/B jusqu'à l'abattoir de Confolens et découpées par la société "Ruelloise Des Viandes" à Angoulême, ce qui nous permet de limiter l'impact et les coûts liés au transport (départ-retour à la ferme : 135 km).
Les légumes quant à eux sont cueillis et vendus sur place.